Une carte des transports doux sur notre territoire est en élaboration. Elle est consultable sur la page mobilité .
Ici, bientôt une liste d'expériences et de solutions pour diminuer la pollution due aux déplacements des biens et des hommes...

En attendant, voici quelques notes suivant les thèmes choisis par les participants au défi une semaine avec ou sans :


Ne pas utiliser sa voiture :

Commençons par les sous. Rouler en voiture, c’est dépenser 40 à 60 centimes par kilomètre. Ce sont les derniers chiffres de l’administration fiscale et correspondent à une estimation basse pour le prix de revient kilométrique de l’Argus. Prenons une moyenne de 50 centimes (un Ourson ). 10 000 kilomètres évités, c’est 5000 €, c’est à dire à peu près de quoi financer l’installation d’un chauffe-eau solaire, comprenant pose, matériel, SAV et sourire de l’installateur. Ou 5000 isolations à 1 € mais méfions nous des prix trop bas !
Les transports émettent 15% des gaz à effet de serre, dont 8 % pour les voitures. Rouler accentue aussi l’activité industrielle (29 % des GES), et la construction ou l’extension d’infrastructures routières (au détriment d’investissements plus durables) et consommateur de surfaces cultivables ou naturelles.
Rouler détruit la biodiversité. Par la consommation d’espace et les collisions routières beaucoup plus nombreuses que vous n’imaginez : amphibiens, chauve-souris, petits mammifères, reptiles … Je vous garantis que même en roulant vite, vous arriverez à éviter les hérissons avec votre vélo !